Voyage de Nicolas

Nicolas, 28 ans, ingénieur spécialisé dans la transition écologique, il réalise un tour du monde à vélo sur cinq ans. Ce projet mêle ses passions pour le vélo, la nature et l’aventure, avec un fort engagement pour la sensibilisation au dérèglement climatique. À travers plus de 50 000 km, il souhaite partir à la rencontre de populations reculées, témoigner des effets du changement climatique et encourager des actions concrètes pour la planète. Plus qu’un simple voyage, c’est une quête de sens, de partage et de transformation personnelle et collective, portée par les valeurs d’humanité, de solidarité et d’authenticité.
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Ses motivations et détails de son voyage !
Je m’appelle Nicolas, j’ai 28 ans, et depuis de nombreuses années, je me rends compte de l’urgence climatique et de la nécessité d’agir. Cette sensibilité je l’ai presque toujours eu, ayant une réelle passion pour tout ce qui touche à la nature, aux animaux mais je l’ai également acquis avec mes études d’ingénierie spécialisée dans la transition écologique.
Ce projet de voyage de tour du monde à vélo est né de mes deux passions : le vélo et l’aventure ; l’idée était de découvrir le monde tout en respectant notre planète. Petit à petit le projet à vue le jour: faire un tour du monde sur cinq ans, combinant exploration, découverte de population reculées et sensibilisation au dérèglement climatique : une aventure plutôt folle !
Pendant ce voyage, je ne veux pas simplement découvrir, mais je veux également éprouver : éprouver mon corps, tester mes limites, partir en quête d’aventure à travers + de 50 000 km mais aussi éprouver ma relation à l’Autre, à l’Humain. Je souhaite partir à la rencontre de différentes cultures et communautés éloignées, parcourir des routes moins fréquentées et témoigner des réalités souvent oubliées par les médias traditionnels.
Le maitre mot du voyage est avant tout le partage. Je ne souhaite pas juste « traverser le monde », aller de pays en pays mais bien : apprendre, rencontrer, échanger, ressentir, revenir à l’essentiel, à l’Humain, à la nature et élargir mes horizons. Ce voyage, je le fais avant tout pour moi, pour m’éveiller, me challenger, grandir et évoluer avec l’ailleurs, mais s’il peut, un tant soit peu, toucher quelques âmes aux passages et pousser à agir contre le dérèglement climatique alors le sens y sera encore plus grand. L’idée serait, à chaque étape de mon périple, de partager les effets visibles du changement climatique sur les communautés locales. Mon but n’est pas d’être alarmiste mais d’encourager l’humain à mener des actions concrète pour préserver notre planète. Je voudrais que tout demeure authentique et pour cela : rien de tels que les témoignages. L’objectif est de m’immerger dans autant d’expériences significatives que possible, de comprendre les défis et besoins des peuples locaux pour y apporter une contribution positive. Je planifie de m’arrêter au décours de ce voyage, pour prendre le temps, de rencontrer les peuples locaux, échanger et pour, si nécessaire les accompagner vers l’autonomisation avec des initiatives durable mais adapté à leur réalité. Je ne peux envisager mon tour du monde autrement que par l’engagement, la solidarité et l’entraide ( et ce, dans les deux sens,)
Ce voyage n’est pas sans défis. Parcourir des milliers de kilomètres à vélo à travers des terrains variés et souvent inhospitaliers exigera une détermination inébranlable mais bien que je ne l’ai pas encore expérimenté pleinement, j’ai conscience de ce qui m’attend, et je m’y prépare depuis des années, c’est le projet d’une vie.
En fin de compte, ce tour du monde à vélo ne se limite pas à une simple aventure personnelle. Je souhaite découvrir, inspirer et agir. C’est un appel à l’action pour préserver notre planète et créer un avenir plus durable pour les générations futures. J’espère avec chaque coup de pédale, me rapprocher un peu plus de mon objectif : faire entendre la voix des populations reculées et favoriser une prise de conscience collective. A mon sens, la véritable richesse d’un voyage réside dans les liens que nous tissons avec les autres et dans l’impacte positif que nous pouvons avoir sur le monde qui nous entoure. Tout est une question d’énergie à donner et à recevoir.
Nicolas, nous te retrouverons en avril 2030…





